jeudi 29 janvier 2009

Inspi aspirée

Il y a quelques semaines, j'ai été harcelé par l"inspiration.
Elle a chassé le sommeil, chassé la vie sociale.

Aujourd'hui, ces deux choses continuent à se perdre mais elle aussi a foutu le camp.
Argh !

Elle est pourtant la seule chose qui me rende vivant.

vendredi 23 janvier 2009

Par Amour de la Viande


Une note rapide où je serai en retard à un rendez-vous qui me tient à coeur.

Je vous invite à découvrir ce site incroyable d'un artiste tatoueur remarquable. (Cliquez sur l'image pour découvrir son travail)

On aime. On aime pas. Mais ce travail ne laisse pas indifférent.

Les mots sont inutiles. Visitez et appréciez.

mardi 20 janvier 2009

Oh Mes Salauds !




Et voilà.

L'arrêté du 14 janvier stipule une fois de plus que les homosexuels ne pourraient pas donner la vie.
Je ne parle pas d'adoption, là où on a encore reculé.
Je parle du don du sang, interdit depuis 1983 aux "populations à risques"
Je vous invite à vous rendre sur le site d'EFS pour voir à quel point...c'est un non-dit total. On parle de piercing, de tatouages, de vaches folles mais de pédés, que nenni !

Cela me fait penser à la pub Renault : la France avance, Renault accélère... Ah bon ? La France recule à grands pas, c'est un fait.
On a le PACS, c'est déjà ça (cf. l'excellent reportage Homophobie à l'Italienne), pour le don de vie, on repassera. Pas de sang, pas d'adoption...
J'ai envie de dire, à quand l'étoile rose obligatoire ! Mais cela me ferait passer pour extrémiste.

Rassurons-nous, la France n'est pas seule. Tous les pays de l'OMS appliquent cette interdiction...

Je demande les lettres de scrabble XY-XY siouplé !

lundi 19 janvier 2009

Suprématisme 2.0

2009, un grand cru ?

Les aléas de la vie me poussent en avant, bien malgré moi.
J'avoue avoir osé croire que je pourrais être mouton de la société. La reprise des cours me crache en plein visage que non.

J'aime passionnément les autres, c'est un fait. Je les aime tant que je ne les supporte pas, chocolat blanc dégoulinant jusqu'à l'écœurement. La misanthropie... pardon, ce que je suis, tout simplement, la Miss Entropie, m'enseigne le sens que doit prendre ma vie.

J'ai enfin joué avec du hmtl et j'ai aimé ça, maso ? J'acquiers une plus grande connaissance de moi, ou devrais-je dire de nous.
- La partie sensée, judéo-chrétienne, meurtrie, celle qui me rappelle ma vie passée, la vie non rêvée de ma mère, et qui me hurle d'avoir mon indépendance financière, rapidement. S'enfermer dans le train-train pour être libre, quel paradoxe.
- Et il y a l'autre partie de moi, celle qui m'arrache des lambeaux de coeur à chaque battement, celle qui m'interdit la routine, qui vomit la routine, qui hait, au sens le plus pur, la routine. Elle me crie de tout claquer sur-le-champ, de prendre mes pinceaux, mes crayons, et surtout ma plume et d'aider à mourir ce monde agonisant en esquissant ses blessures.

Claude arrive et rabroue K.Zel, lui dit qu'il n'a pas les compétences de vivre de son art, et quand bien même ! nombre d'amis talentueux, très talentueux, ne vivent pas de leur plume.

S'il faut un mot pour résumer, je ne choisirai pas "Liberté" car c'est une utopie dans ce monde actuel. Je choisirai "Asile", pour sa dualité :
Le Refuge
La Maison des Fous.

mardi 13 janvier 2009

God does'nt know I'm good

En ce jour funeste du 13 janvier...
Non. En y réfléchissant bien, je ne dois pas traîner de mort ce jour là.
En ce jour, donc, j'attends l'inspiration, un putain de souffle divin.

Des semaines de frustration se voient réduites à néant, mais pourquoi ?
Sans l'écriture, je ne suis rien, et voilà qu'elle semble jouer à cache cache.

Prendre mon mal en patience,
et de pas me briser la main contre le mur, de frustration.

samedi 10 janvier 2009

Bonne année deux mille merdes

Eh bien 2009 commence.
Ok, on accepte, on a pas vraiment le choix.

Glorieux début d'année, écrasé par le lent travail de sapage de la fac. Vous êtes tous pareils, entrez dans le rang.
Si tu veux être autre, tu es condamné à une vie marginale.
si tu as une vie marginale, tu ne gagnes pas ton pain.
Je veux juste un toit sur la tête et un peu de bouffe.
Pour juste être moi.

Je crois que je pers le cas, que je subis des mois et des mois de mensonges. On ne peut m'ôter la moitié de moi, cela va de soi, ou j'en mourrai.