mercredi 18 février 2009

A l'heure où les ouilles vont boire...

Mortefouette, il y a bien longtemps que je ne suis pas usé les doigts à pondre quelque ineptie. J'erre dans les limbes de ma formation et en oublie le temps (que c'est beau)
Formation qui implique un stage, ne l'oublions guère et ça 'est de toute façon impossible. Quelle ironie en temps de crise que de chercher une chaise de bureau dans une entreprise, juste pour gratter quelques lignes.
La tâche semble bien ardue dans ma froide région.

Il me reste deux mois. Espérons. Cherchons. Grattons. Espérons encore et peut-être (prions)

dimanche 1 février 2009

Twillight

J'ai enfin vu THE film pour adolescentes en fleur (comprendre système hormonal vierge de 14 ans), j'ai nommé : Touaïlaïte !

En grande fan de vampires devant l'Eternel (choississez l'Eternel que vous voulez) il me fallait le voir absolument.
Je m'attendais à un gros teen-movie et au final, ça n'est pas tout à fait ça. Certes, l'engin est calibré pour les jeunes filles en fleur précédemment évoquées mais ça n'est pas non plus la banale comédie à l'oderose qu'on connaît.

J'avoue avoir passé un bon moment. Notamment à cause de l'humour des vampires, notamment Edward (prononcez "Edweud"), humour, ma foi, généralement involontaire. Je me suis également demandé si le caméraman était bourré, ou stagiaire, ou les deux.
L'ensemble ne casse pas trois pattes à un canard, c'est clair, mais bon, ce n'est pas non plus la sombre bouse qu'a pu être Queen of the Damned.
Bilan, je pense lire les bouquins si l'occasion m'est donnée car j'avoue avoir été un poil intrigué par la vision de l'auteur qui, sans révolutionner le mythe, propose une vision intéressante. Je les lirais comme ce que c'est : de la littérature jeunesse, sans chercher à voir plus loin, et cela me divertira sans doute autant que le film.
Pour la parenthèse, j'ai trouvé la jeune fille jouant Bella magnifique avec ses faux airs de Sigourney Weaver jeune. Mais ceci est un détail.