lundi 15 décembre 2008

De la révision acharnée.

Comme chaque année depuis maintenant bien trop longtemps il me semble, je galère lors de cet évènement festif incontournable "La semaine de révisions".

Comme d'ordinaire, je découvre les cours que je n'ai pu suivre pour raison de santé mentale déficiente (c'est intéressant de taper une mémorable crise de phobie sociale en plein semestre)
Bilan, mon lehrer enlumine ses cours de photos cochonnes, je devrais y aller plus souvent.
Je (re) découvre l'IST, bien loin des maladies du kiki.
Encore un peu de courage...

Aujourd'hui doit être l"avénement d'un évènement atendu depuis longtemps. Une bande de types empérruqués vont décider si oui ou non je dois poursuivre ma passion du cheval.
Affaire à suivre, c'est les fêtes voyons, le résultat se fera attendre.

vendredi 12 décembre 2008

Ceci est un message à caractère informatif.



RIP le PC mais reborn.
Maintenant, c'est le pilote de la tablette et du tout nouveau scanner qui ont disparu.

Ce message s'auto-détruira ou s'illustrera après résolution du problème.

vendredi 26 septembre 2008

Décidémment...

Après un millième problème de connexion, je peux enfin reposter.
bon pas grand chose à dire pour le moment.

Vue la liste des problèmes avec Blogger (de mon côté), il y a des chances que le blog change d'adresse.

Je vous tiendrai au courant.

Une page sur ma vie ? Eh bien, je ne me sens pas motivée.
Disons que j'ai des ennuis de paperasse, que je dois aller faire les courses, que j'ai lavé de fond en comble l'appart...
Ok, rien de palpitant.

Ah oui, et photos et dessins devraient enfin faire leur entrée ! What a miracle !

dimanche 22 juin 2008

La Fête de l'Amuse ? Hic ! Non merci

Après une phase de néant, les mots m'appellent, à la date anniversaire du pire bien que ce jour soit passé de 6 mn à l'heure où j'écris.
L'été, la fête de la musique.... moi je ne me souviens que du saut de l'ange, combien de temps cela va t-il durer ?
Quatre ans déjà qu'il est parti, à l'âge qu'à mon amour d'à présent. Parfois, je me sens égo¨ste de me reconstruire, mais je sais que c'est ce qu'il aurait voulu.
La musique me vrille les oreilles sur ces vingt-quatre heures et l'acide me ronge l'estomac.
J'espère que demain sera un jour plus serein.
Profiter de cet exil parisien pour oublier les soucis qui me guettent au retour.
J'ose espérer qu'il y aura un mieux, il y a un an, j'en aurais été incapable.
Il y a un an, j'en regardais un s'endormir dans sa bière sans une once de compassion, oubliant mon arrogante demande d'indulgence de trois dates marquées au fer rouge.
Deux d'entre les sont des fêtes où l'on boit, danse, rit. Pour moi la boisson et la danse deviennent un masque qui finit toujours par s'effondrer si j'ai le malheur de boire trop.
Mais faire semblant d'être heureux quand on n'a pas boucler un deuil, c'est impossible.
On n'oublie pas le premier amour, même si ses dates s'affichent maintenant sur un marbre. On fait avec, et on se demande si un jour vraiment on aura le courage d'y aller.